Séquence

Envie de foutre, rut.
Relever sa robe de soie
Noire, au pli impeccable
De fille bien élevée.
Baisser sa culotte
D’un geste vif.
Prendre sa chatte en main
Et la sentir mouiller.
Exciter le bouton,
La faire jouir d’emblée
Comme un pianiste
Touchant la bonne note.
Fourrer le doigt dans sa fente,
Sentir la pine se gonfler,
La pénétrer
En très fort va-et-vient
Pour visiter ses reins.
Fouet en main
Claquant sur le bombé.
La tenir en cheveux
En tresse bien serrée.
La voilà qui succombe
Envahie par le gland
Et tenue par les mains.
Cris stridents elle jouit,
Puis de sa main habile,
Caresser elle vient
Jouer une pétanque,
Me voilà cochonnet
Le chibre déployé
Je vise et puis je tire,
Je redouble les coups.
Elle griffe et gigote
Entièrement limée,
Livrée et besognée.
Et je sens que ça vient
C’est le nectar qui coule
Et la chaleur qui monte,
Le feu n’est pas éteint,
Je l’invite à sucer.
Elle la prend alors
Comme une grosse asperge
Que l’on aime manger
À la sauce enrobée.
Elle n’en laisse rien,
Avalant la fumée,
Elle sait ne rien perdre
Se met à déguster.
Cela me fait bander,
Me voilà rechargé.
Lors je l’installe en v,
Son cul à la hauteur
Et qui se pose en trône
Au sommet de ma pine
Tendue comme une verge
Afin de la gauler.
Après ce va-et-vient
La voilà qui ressort
Pour passer le relais
À une bouche aimante
Qui vient se délecter
Et gonfle plus encore
Le phallus déployé.
Sur le lit allongée,
Soumise et attachée,
Entravée, yeux bandés,
Orifices comblés.
Petits cris maintenant,
De plaisirs, de douleurs,
Sans pouvoir distinguer.
La fessée vient trancher
Et la faire gueuler,
Puis nouvelle foutrée
Pour se réconcilier.
Là, toutes voiles dehors
À grandes embardées,
Insoumise et volage
Comme une sous effet
D’un breuvage rendant
Nos corps trop exaltés
À les faire exploser,
Elle prend l’avantage
Et me pisse dessus
Puis se couche du long
Et attend la réplique
Cherchant la bouche ouverte
À recevoir le jet,
À se faire saloper.
La douche est fraternelle
À réparer l’outrage,
Comme une noce d’eau,
Mais le jet, là encore
Revient pour l’exciter.
Son clito n’en peut plus
Elle bouge elle crie
Et c’est pour la calmer
Que je la prends derrière.
La voilà bien matée
Et me voilà repu.
La robe reprend place
Et revient la mouler.
Je la désire alors
Autant qu’à l’arrivée.

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